Hugo von Hofmannsthal an Arthur Schnitzler, [Mai 1899]

|traduction médiocre, sans vigeur sans subtilité, exempte de qualités littéraires; elle trahit un ésprit pédant et d’une sotte vanité.
H. H.
j’ai ajouté quelques eclaircissements.
|Das Wortspiel mit dem Sitzen ist unverstanden geblieben, ist auch schwer zu übersetzen.
Die replique des Prospersste lauten: si au moins tu ne faisais que leur tenir compagnie! (das ist aber auch ohne Schärfe)
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